|
MOHAMED (16) répond |
le 11-02-2008 à 12:00 |
notre trés cher Julie avait raison aussi.
|
|
|
Attila (21) répond |
le 12-02-2008 à 09:15 |
On a tendence de "baisser les bras" si on n'est pas comme les autres. Regardons un peu la Constitition de l'UE: - c'est la différence qui fait l'union. Et puis il vaut mieux savoir - je veux dire avoir de savoir que pas: plus on aura de gens instruits, plus le pourcentage des chercheurs et de leur possible succes sera grand...
Mais dans un pays oú un concierge sans éducation a un salaire plus élevé qu'un professeur ou un médecin-chef en fin de carriere - cela me parait utopistique.
|
|
|
Attila (21) répond |
le 12-02-2008 à 09:25 |
Il faut aussi apprendre á apprendre aux éleves: la chasse aux bonnes notes sous l'obligation des parents et des profs ne mene á rien. Il faut savoir faire des fautes et puis déduire par la logique oú était l'erreur. Cela va de pair avec le savoir suivant: comment utiliser les dictionnaires, les encyclopédies, voire Internet. Mais seulement gaver des formules toute une vie - ne permet pas d'avoir de bons chercheurs. Sans bons chercheurs il n'y a pas de science et il n'y a pas de succes possible contre de tels maux que l'autisme, le diabete, l'épilepsie, le cancer...
Les enfants ont peur de lire á haute voix et de lire du tout: un petit livre de 120 pages lu en 6 semaines, avec peine qui a été traduit dans la langue maternelle de l'apprenant ? Oui cela existe aussi...
|
|
|
Attila (21) répond |
le 12-02-2008 à 10:17 |
Sans une lecture véloce, disons 25-30 pages/minute on n'a pas de lecture catégorisante, on n'a pas de lecture entre les lignes et on se lasse vite. Alors pour trouver la solution pour nos recherches (quelles qu'elles soient leur but) on reste figé sur place. Il faut détruire le monolibrisme et le monolinguisme et introduire la pluralité partout: plus on connait de langues, plus facilement peut-on connaitre et faire connaitre tant les succes des autres que les notres. C'est valable tant pour la recherche (contre l'autisme par exemple) que pour recevoir le plus de prix Nobel...
Le savoir des langues étrangeres est la pierre de base de toute vraie science et de toute recherche.
|
|
|
MOHAMED (16) répond |
le 12-02-2008 à 14:18 |
bien que j'ai rien à dire, mais cela me plais bien de lire vos commentaire, continuez...
|
|
|
Eric (22) répond |
le 13-02-2008 à 08:47 |
Dans ce second commentaire, j'écris que j'ai lu des livres de Janine Fontaine qui est cardiologue , anesthésiste , réanimatrice et qui a participé aux premières transplantations avant de partir étudier, dans les années 1980 , la possibilité d'existence d'un corps éthérique, véritable interface entre nos constructions nerveuses de nos corps physiques et d'autre(s) monde(s) . Si j'ajoute le fait que nos cerveaux sont "sous employés" actuellement disent de grands psychologues , il pourrait y avoir un début de piste de recherche qu'il faudrait ouvrir ! Ainsi , on saurait si des mondes nous sont restés cachés et alors, on pourrait "monter" jusque ces mondes pour faire progresser la connaissance des Hommes et dans le cas présent peut-être modifier une interconnexion qui ferait un semblant de miracle MAIS qui rendrait service. Ce début de piste semble très prometteur , quelqu'un a-t-il essayé? et va-t-il oser nous l'écrire vu la censure qui semble exister sur ce sujet?
|
|
|
MOHAMED (16) répond |
le 13-02-2008 à 10:57 |
j'ai visité le blog...et je suis toujours présent pour lire, mais il me faut du temp pour pouvoir dire.
|
|
|
SylvianePsychologue (33) répond |
le 06-03-2008 à 11:03 |
L'autisme est effectivement un vaste domaine qui nous réserve encore bien des surprises. Tant les professionnels que les familles d'autistes. L'article parle d'une petite facette de l'autisme. Il y a une multide d'autismes différents : syndrome d'Asperger (autistes de haut niveau), le syndrome de Rett (qui touche essentiellement les petites filles vers 3 ans après un développement tout à fait normal), l'autisme carapace, l'autisme primaire anormal, l'autisme secondaire régressif, l'autisme atypique...
|
|
|
SylvianePsychologue (33) répond |
le 06-03-2008 à 11:07 |
Bref, dans toutes ces variantes de l'autisme, nous avons à faire avant tout à des êtres humains qui ne rentrent pas dans les cases (ce qui en dérange plus d'un). Pour preuve, parmi la communauté scientifique, il y a encore des désaccord au niveau de la classification : handicap ou maladie mentale ? Et si ce n'était ni l'un ni l'autre ??? Ayant travaillé avec des autistes, j'ai appris qu'il fallait d'abord s'intéresser à eux avant de s'intéresser à leur pathologie. Ils ont tous leur personnalité et on a tendance à la gommer au profit du "dysfonctionnement". Être autiste est effectivement un handicap dans une société qui ne supporte pas la différence. Mais être autiste, c'est apporter un autre regard sur le monde. Les familles en savent quelque chose. Et ces familles souffrent de ne pas avoir les mêmes codes de langage pour mieux communiquer avec celui -ou celle- qu'ils aiment.
|
|
|
Eric (22) répond |
le 11-03-2008 à 09:13 |
Il y a différents types, certes ...mais, il est surprenant de mettre un être diagnostiqué " autiste" devant un clavier d'ordinateur ! je persiste donc, si nous ne connaissions rien au cerveau Humain et animal ...! Si nos scientifiques avaient conclu trop tôt , si le cerveau était extérieur au corps et que dans le crâne il n'y avait qu'un récepteur très performant? ....en gros, si nous avions tous le même "Centre Cérébral " où nous pourrions aller puiser une infoation . Les info seraient les mêmes pour tout le monde MAIS la réception-détection serait personnalisée , cela expliquerait bien des mystères ! tq la concomitance des découvertes de part et d'autre de l'atlantique, le fait qu'un microcéphale puisse se débrouiller dans la vie ....etc...le fait que les plantes puissent communiquer entre elles ? ...etc...
|
|