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Dominique () répond |
le 14-08-2007 à 18:42 |
(suite) Suite du grand carré au dessus. Puis on avait le mois pour lire le livre, et à la réunion suivante qui se déroulait chez l'une des personnes habitant d'une façon centrale dans la région (car les personnes venaient de tous les coins de la région, mais on en avait limité le nombre à une quinzaine pour que tout le monde puisse dire son avis) chacun disait son avis sur le livre. Cela permettait à tous de s'entretenir en lisant en allemand, mais on peut très bien tranposer la chose en français.
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Dominique () répond |
le 14-08-2007 à 18:43 |
Par exemple en commantant les prix littéraires. Ou les livres à la mode.
Cela ne coûtait rien sauf à la personne qui recevait qui offrait comme ces cercles étaient le samedi matin un grand petit déjeunes auquel chacun pouvait amener ses gâteaux et biscuits.
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Dominique () répond |
le 14-08-2007 à 18:56 |
Ces cercles littéraires dans la mesure où peu de personnes se réunissent sont faits de manière informelle et ne sont pas déclarés en association, ils sont dans la droite ligne des salons littéraires du XVIIème XVIIIème siècle, et ont la forme d'un petit déjeuner ou d'un café de l'après-midi pour lesquels quelques ami(e)s se réunissent.
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julie (33) répond |
le 17-08-2007 à 11:01 |
Génial ça Dominique !
J'ai également eu une expérience qui se rapproche de la tienne. J'ai participé à des ateliers d'écriture dans le cadre d'une formation et j'y ai trouvé des gens vraiment exceptionnels ! Cet enseignement est passionnant et nous avons communiqué autour d'un tas de choses, ils sont très ouverts d'esprit. Je vais d'ailleurs leur faire de la pub : Il s'agit des "ateliers de l'art cru" à Bordeaux, s'il y a des bordelais ici, inscrivez-vous, ces gens sont formidables
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