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justine répond |
le 23-08-2007 à 02:46 |
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non pour ma part, unikement participation dans les assos...Jpense qu'il est nécessaire d'être organisé et efficace dans son travail si l'on veut avoir assez de temps pour gérer une association en plus.En ce sens, on retrouve souvent des profs dans ce type de tâche...dans l'idéal, il faut apporter à la communauté...cependant de l'argent, ça peut aider à la mise en place de projets mais au delà de l'aspect narcissique, je suis pas convaincue que celà montre un quelconque interêt pour autrui mais plutôt un geste de "bonne conscience", je n'ai pas le temps de faire quoique ce soit donc je fais un chèque, rapide, non contraignant et me donne cette impression d'aider donc d'exister...
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METIN (93) répond |
le 14-11-2007 à 04:55 |
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Alors là tout à fait d'accord!!!!!!!!!!!
Aider s'entraider ça permet d'etre et d'exister.
Mefiance pour les cheques moi j'ai donné pas mal et j'ai appris ensuite que l'argent n'était pas bien utilisé voir détourné.
Pour les assoc j'ai donc prefere m'investir. J'offre des sites web a des intermitents du spectacle. Je leur paye l'hebergement et je leur fais leur site.
En plus cela me permet de m'epanouir dans mon travail car je suis informaticien et d'ailleurs je suis devenu tellement passionné que je vais orienter ma carrière vers le WEB.
J'aide vraiment des gens précis plus que des cheques vaseux donc je suis heureux de rencontrer d'autres personnes! David
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SylvianePsychologue (33) répond |
le 29-03-2008 à 21:36 |
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Difficile de continuer ses engagements quand on a une vie professionnelle très prenante et une vie privée tout aussi prenante. J'avoue que depuis que j'ai fini mes études, je n'ai plus eu le temps de continuer à m'investir auprès des Resto du Coeur. Mais connaissant bien le fonctionnement de l'association, je n'hésite pas à leur apporter une aide financière chaque année, mais aussi en faisant le tri des vêtements, jouets d'enfants... C'est une autre façon de s'investir. Ce n'est pas une recherche de confort narcissique mais réellement une consicence que tout le monde n'a pas la chance d'avoir un toit sur sa tête, de manger à sa faim tout en se plaignant parfois de petits bobos ridicules finalement ! Je rencontre tellement de souffrances dans mon métier que je ne peux fermer les yeux et continuer à me regarder en face tous les matins. Cela dit, ça me manque de ne plus être sur le terrain avec eux... Pour la retraite !
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