Il s'interroge ainsi sur la nécessité d'obliger les gens à travailler à des moments où ils sont parfaitement improductifs. Chez Semco, personne ne s'affole si un employé passe une heure au téléphone avec son fils de douze ans. "Si cette personne ne trouve pas son équilibre entre vie privée et professionnelle, ce sera forcément au détriment de ces deux domaines", souligne Ricardo Semler.
Sa philosophie accorde également une large place au travail à distance : "Un chef d'équipe aurait-il peur de ne plus contrôler le travail effectué ? Il ne faut juger le salarié que sur ses performances". Autrement dit, ce ne sont pas les heures de travail qui comptent mais bien le résultat. [ Un patron étonnant]
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Les réactions à cet article
Il y a 21 commentaires
Jocelyne 53 a posté le 11 novembre 2009 :
Ce concept révolutionnaire peut faire boule de neige, si les gestionnaires d'entreprises ainsi que les patrons sont réellement prêts pour ces changements drastiques. Trop de leaders veulent encore et toujours contrôler leurs subordonnés comme des enfants et sont incapables de déléguer avec confiance. Pour eux le stress est une bon catalyseur de productivité alors qu'au contraire, cet état d'esprit conduit à la dépression profonde sinon au suicide.