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EMPLOI ET CARRIÈRE
Les clés d'une expatriation réussie
L'expatriation ne s'improvise pas. Découvrez cette série de conseils pratiques pour savoir ce que vous avez à perdre ou à gagner en changeant radicalement d'environnement géographique.
Travailler à l'étranger n'est pas toujours un choix personnel. Parfois, il s'agit d'une mutation des effectifs ou d'une promotion. A l'inverse, l'expatriation peut procéder d'une démarche personnelle, parce que l'on souhaite enrichir son expérience, monter un projet professionnel ou plus simplement changer de vie. Dans tous les cas, la décision doit être mûrement réfléchie.
Réussir à s'adapter
Ne partez pas à l'aveuglette ! A 500 ou à 5000 kilomètres de chez vous, la même question se pose : saurez-vous vous adapter à la culture locale ? Plus la distance est grande et plus le fossé est large. Si vous ne parlez pas la langue, vous serez confronté à une difficulté supplémentaire, mais pas insurmontable. Dans le cadre d'une promotion comme d'une mutation, vous risquez de vous éloigner pour un certain temps, en général deux à trois ans. Une expatriation lointaine et de longue durée implique nécessairement la question du retour. Il faudra vous réadapter à votre vie d'avant et retrouver votre place, ce qui n'est jamais gagné d'avance. [ De nombreux avantages
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Les réactions à cet article |
Il y a 231 commentaires |
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Francis (40) a posté le 21 avril 2008 :
Je suis a l'etranger depuis 2 ans.
Ayant ete au chomage a 53 ans, le seul moyen de trouver un job est de partir. En France, on est vieux apres 36 ans, et grabataire a 45 ans, quand il s'agit de trouver un emploi ...
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Mosa (06) a posté le 21 avril 2008 :
Pourquoi s'obstiner à jouer sur les mots? S'expatrier et immigrer ne sont que deux facettes de la même pièce à mon sens. et contrairement à ce que dit Rémi, tous les immigrés ne souhaitent pas forcément adopter la nationalité du leur pays d'accueil! La démarche de quitter son pays pour un autre n'a de finalité que d'améliorer son quotidien et mieux préparer son avenir. Alors pourquoi ce qui vaut pour les uns n'est pas valable pas pour les autres. Un africain en France est un immgré, et un français en Angleterre est un immigré aussi!
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isabelle (78) a posté le 21 avril 2008 :
Nous sommes partis 5 ans expatriés aux USA, rentrés en juillet 2007.
En tant qu'expatriés nous sommes TRES avantagés par rapport aux français (pour les conditions de vie, pour la carrière) et aussi par rapport aux citoyens du pays d'accueil (dans notre cas avantage certain sur les américains de notre couverture médicale par ex prise en charge par l'entreprise, partie du contrat). Et on s'y fait TRES bien!!!!!!
Attention au retour! Niveau de vie en baisse, et parfois (ça n'a pas été notre cas Dieu merci) poste non compatible avec les aspirations et les exigences de retour......Réussir une expatriation c'est aussi réussir son retour professionnel ce qui n'est pas toujours évident!
Malgré les retours délicats, on ne demande qu'à repartir. Europe? Pays émergeants? C'est une expérience de vie inégalée et TRES enrichissante à tous les points de vue.
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jacques (20) a posté le 21 avril 2008 :
celà fait 20 ans que je vis au MAROC, je m'y éclate professionnellement, où les contacts sont chaleureux, où le soleil brille, où véritablement "il est interdit d'interdir" a un sens. Je pense qu'un jour tous nos "rois fainéants" des 7 ou 8 pouvoirs se retrouveront seuls en France. Une façon de contester, je crois que c'est surtout comme celà qu'il faut interpréter cet "exode".
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Edouard (w1) a posté le 21 avril 2008 :
Premiere remarque: Cet article n'evoque que les Francais travaillant a l'etranger sous contrats d'"expatrie", alors que de nombreux Francais travaillant a l'etranger sont sous contrats locaux. Deuxieme remarque: les arguments avances et le ton utilise dans cet article paraissent tres "frileux" et sont en tres symptomatiques de l'esprit paralysateur qui domine en France.
Pour etre plus explicite, je souhaiterais brievement decrire mon cursus a l'etranger. Je suis parti a l'etranger, il y a plus de dix ans, a l'age de 22 ans, sans parler l'anglais, sans avoir ni maturite ni experience professionelle. Je n'etais equipe que d'une valise, d'une adresse d'auberge de jeunesse pour y dormir les premieres semaines, mais j'etais motive a bloc par ce saut dans l'inconnu et l'idee d'avoir l'opportunite de vivre, pour un temps, "en dehors de la norme etriquee Francaise". Le gout de l'aventure a pese plus dans ma decision que ma formation scolaire ou les avis mitige de mes camarades de l'epoque,
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olivier (20) a posté le 21 avril 2008 :
Voilà 2 ans que j'habite en Tunisie, aprsè de 2 expériences dans d'autres pays...A chaque fois que je rentre en france, je trouve les français d'une tristesse....à pleurer...j'étais heureux de le quitter et ne regrettte en rien de l'avoir fait....Un seul souhait : ne pas y retourner y vivre !
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Pierre (68) a posté le 21 avril 2008 :
J'ai vecu 15 ans au Canada et aux Etats-Unis, apres avoir quitté la France a l'age de 21 ans. Mon epouse (Canadienne) desirant connaitre l'Europe nous avons decide de venir nous installer en France et tenter d'integrer la "carte postale" qui fait rever tant de Nord-Americains. La France est un beau pays, ideal pour les vacances et la retraite, mais rien d'autre!
De CDD en CDD, et salaire de misere en salaire de misere, pour mon epouse malgre un Doctorat en Biochimie avec mention (specialisation en cardiomiopathie+diabete), elle a finalement abandonné la recherche pour survivre. Quant a moi, journaliste avec 15 ans de carriere en Amerique, je suis au chomage depuis +de 5ans. Nous essayons de faire des economies pour repartir au plus vite a l'etranger, et profiter du peu d'avenir qu'il nous reste.
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Louis (L1) a posté le 21 avril 2008 :
Très bon article, dommage qu'il soit trop court et ne donne pas les pays avantageux pour l'expatriation ni que beaucoup de pays prélève l'impot à la source donc la première année vous payez l'impot français + l'impot local... Ce qui peut mettre à mal vos économies.
Maintenant vous retrouvez au retour l'année sans impots.
De plus j'ai travaillez en Angleterre, en Italie, en Allemagne et je travaille depuis 4 ans au Luxembourg, le seul pays qui prélève plus que la France est la Belgique. Et la différence de revenu net est à peine croyable. Comment se fait-il que nous soyons si taxés en France par rapport aux autres pays d'Europe ?
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Chen (31) a posté le 21 avril 2008 :
Bonjour à tous,
Je me suis expatrié au Royaume-Uni en 2004 où je suis resté trois ans, avant de finalement revenir en France il y'a tout juste un an. Confiant que la politique plus libérale de N. Sarkosy, pourrait sortir la France de la crise, j'ai misé sur un retour au pays. Aujourd'hui même si je trouve les français moins morose que lorsque je suis parti il y'a quatre ans, preuve qu'il y'a de l'espoir, il est clair néanmoins que depuis l'Euro c'est difficile de s'en sortir à la fin du mois. Résultat je suis à nouveau candidat à l'expatriation en misant cette fois-ci sur la Suisse qui présente l'avantage d'être un voisin proche. Tant que les entreprises ne mettront pas la main à la poche pour réduire l'écart existant entre les salaires et le coût de la vie la France restera enlisée. Et là ce n'est pas une mesure à attendre de la part de l'Etat (comme les Français l'ont toujours fait) mais bien des entreprises elles-mêmes ! Ca peut sembler lâche de partir à l'égard de mes compatr
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p (75) a posté le 21 avril 2008 :
Si l'opportunité se présente (ou se provoque), il faut la prendre SI :
- on est préparé à deux CHOCS (Intégration à l'aller et RE-Intégration au retour),
- on prend en compte sa "petite" retraite (attention hors UE!! Souvent pas de convention croisée),
- l'opportunité est réellement une opportunité (suffisamment dur de s'expatrier ou d'immigrer, pas la peine de rajouter d'autres soucis genre financier par exemple)
- on assimile bien que le retour (si retour il y a) sera d'autant plus DUR que la vie à l'étranger aura été longue (on est très vite pris pour qq’ un de différent (à raison) ou de dérangeant (à tort) dés que l’on affiche des périodes longues en dehors de France...)
Et à part cela, si on a le profil "Aventure" (c'en est une !!!); IL FAUT LE FAIRE...et profiter des bons moments car il y en a de très durs insoupçonnés au départ)
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