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EMPLOI ET CARRIÈRE
5 conseils pour réussir un test de graphologie
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C'est une spécialité du recrutement "à la française" ! Les patrons et autres chasseurs de têtes sont friands de ce mode d'analyse de la personnalité d'un candidat à l'embauche.
A la différence d'un test psychologique classique, le test de graphologie ne se base pas sur des réponses personnelles ou des connaissances supposées acquises, mais sur l'écriture et sa calligraphie, uniques chez chacun d'entre nous. Certes, le diplôme sanctionnant les études de graphologie n'est pas reconnu en tant que tel par l'Etat. Il repose cependant sur des travaux longs et très sérieux. Les entreprises n'en seraient pas aussi gourmandes s’il s'agissait d'un discipline totalement fantaisiste.
Il ne faut vraiment pas se faire piéger dans le cadre d'un test de ce type car il sert justement à recouper et vérifier la pertinence des résultats obtenus dans les tests traditionnels. A chaque fois, le candidat est invité lors d'un petit entretien à rédiger un texte assez court, systématiquement au stylo à bille ou à l'encre, mais jamais à l'aide d'un feutre ou d'un crayon. Très souvent, pour gagner du temps, les recruteurs présentent un texte imprimé à recopier sur une banale copie d'écolier.[ Ne cherchez pas à inventer un style d'écriture
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Les réactions à cet article |
Il y a 37 commentaires |
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Mathieu (92) a posté le 30 octobre 2007 :
Valerie, concernant l'ironie vous avez vu jsute. Je voulais savoir si vous aviez suivi une formation universitaire de psychologue.
Sûrement que je manque d'éléments sur la graphologie mais à la lumière de ce que j'ai lu je suis loin d'être convaincu.
Vous parlez de rapports humains mais le process de recrutement est bien là aussi pour sélectionner la "meilleure" personne pour le poste et se baser sur une méthode qui laisse une trop grande part à la fantaisie me semble douteux.
Le recrutement n'est pas là pour faire un bilan humain du candidat en tant que tel, il est principalement là pour trouver LE candidat parmi les postulants
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annie (86) a posté le 30 octobre 2007 :
au cours de ma carrière, lors d'une mutation interne dans l'entreprise, le patron qui a retenu ma candidature, m'a avoué "qu'il m'avait retenu par rapport à mon écriture" surprenant - dans l'écriture, il y a toute notre personnalité, notre caractère, nos envies, nos défauts - c'est incroyable - l'écriture, la transparence de notre soi - je suis à la retraite aujourd'hui et j'écris des poèmes - sans doute prédestinée dans l'écriture
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Valérie (94) a posté le 30 octobre 2007 :
Mathieu, désolée de vous contredire mais la graphologie n'a rien de fantaisiste, c'est au contraire un travail qui demande du sérieux, de la minutie et de la rigueur. Dans un processus de recrutement, le graphologue cherche à déceler les aptitudes du candidat par rapport au poste à pourvoir, le but principal n'étant pas de pénaliser le postulant mais de savoir si sa nature profonde correspond aux fonctions demandées (bien sûr l'on tient compte de son niveau d'études et de son expérience). Il ne faut pas oublier que malgré ce que vous pensez, la graphologie peut également aider un candidat lorsqu'il se trompe de voie. Il ne faut pas la prendre comme une barrière de plus à franchir. Cependant je peux comprendre qu'une analyse faite à votre insu puisse vous déranger. Je pense que la graphologie a été mal amenée, donc mal comprise. Tout le problème est là. Et c'est dommage.
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Valérie (94) a posté le 31 octobre 2007 :
Juste un dernier commentaire qui illustre bien la transmission des idées fausses : je reprends le titre de l'article "la graphologie : les pièges à éviter". Comme si la graphologie était un piège redoutable...
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Judikael (22) a posté le 31 octobre 2007 :
Vous avez mal lu mon commentaire Valérie. J'ai dit que le processus de recrutement comporte une partie de hasard et d'intuition, et que c'est quelque chose de difficile à admettre pour un recruteur, et à justifier auprès de ses resposables ou actionnaires, qui eux n'ont qu'une vision purement économique de la chose et veulent des justifications par des chiffres. Et c'est là que des personnes peu scrupuleuses/naïves/convaincues, essayent de vendre des méthodes fantaisistes vêtues d'habits de rigueur et de jargon scientifique. Car malgré tout les méthodes plus ou moins rigoureuses utilisés par les graphologues pour étudier une écriture, elles s'appuient toujours sur le postulat indémontrable que l'écriture est le reflet de la personnalité. Quand on connait le nombre de facteurs qui gouvernent l'apprentissage du langage et de l'écriture, la complexité fonctions moteurs cérébrales et malgré l'imprécision de nos connaissances actuelles sur le fonctionnement du cerveau, ce postulat est inept
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Judikael (22) a posté le 31 octobre 2007 :
La seule chose que l'on peut déduire sur l'écriture, c'est que lorsqu'elle est tremblante, c'est que l'individu a peut être la maladie de Parkinson.
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martine (30) a posté le 9 novembre 2007 :
graphologue depuis 25 ans et dirigeant une école reconnue par l'éducation nationale, je trouve vos propos un peu "résumés" et simplistes
pour faire une bonne analyse se graphologique i lf aut avoir fait troisans d'études et rechercher plus de 120 signes qui vont nous donner a personnalité du scirpteur, différente our chacun et que nous décrivons sans aucun jugement.5 petits conseils... un peu rapide et leger
je peux vous envoyer les programmes d'une formation an psycho graphologie détallés sans roblèmes pour vous éclairer sur ce métier
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Valérie (94) a posté le 10 novembre 2007 :
Judikael
Vous tenez des propos qui montrent bien votre manque accablant de connaissance en la matière...
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François (95) a posté le 19 novembre 2007 :
Ecrivant moi-même comme un cochon, je suis heureux de ne jamais avoir eu à passer ce genre de test même si je sais que la beauté de l'écriture n'est pas en cause. Une vieille professeur et amie m'ayant durant quelques mois donné des indications sur des constantes entre écriture et caractère, je me suis amusé alors que j'avais une jambe dans le plâtre avec l'obligation de manger au restau tous les midis à "dire la bonne aventure" si on peut dire, à une jeune lycéenne installée à une table voisine avec des copines. Mes "déductions" étaient si vraissemblables pour elle et ses copines que j'ai dû remettre ça avec trois autres filles. Et naturellement tout était vrai, même et surtout ce que j'induisais de leur âge et de leur apparence. Cela prouve qu'il est facile de tromper les gogos, car naturellement je n'ai aucun véritable talent dans ce domaine. Un exemple de constante négative ? Ceux qui terminent leurs mots en spaghettisant leurs lettres (plus petites et plus illisibles, ce qui résou
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jmb a posté le 19 novembre 2007 :
personnellement je pense que l on perd avec les années l art de bien écrire a la plume et que c est tres bon de lire de temps en temps ce genre d articles qui nous rappelle que l ecriture est aussi une maniere fondamentale d avoir un jugement sur les autres..
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